Vue prise de la terrasse de l'hôtel du comte Duval à Mons d'où l'on découvre les châteaux du Roeulx, Seneffe, et autres objets distants de sept et huit lieues

Auteur(s), créateur(s), collaborateur(s) : Van den Burggraaff, Guillaume-Philidor; Boëns, Alexandre
Collection(s) : Université de Mons (UMONS)


Type d'objet représenté: Estampe, gravure
Lieu de conservation de l'objet original: Bibliothèque centrale
Titre: Vue prise de la terrasse de l'hôtel du comte Duval à Mons d'où l'on découvre les châteaux du Roeulx, Seneffe, et autres objets distants de sept et huit lieues
Auteur(s), créateur(s), collaborateur(s): Van den Burggraaff, Guillaume-Philidor (auteur)
Boëns, Alexandre (auteur)
Editeur: Burggraaff
Année de première publication ou diffusion: ca 1850
Lieu de création de l'objet original: Bruxelles
Autre(s) identifiant(s): E 646
Langue de l'objet original: Français
Résumé: Joseph-Constant-Fidèle Duval de Beaulieu (1751-1828) loue, à partir de 1788, un hôtel appartenant au couvent des Dominicains. Il s’engage à reconstruire cet hôtel, situé à front de l’actuelle rue des Dominicains. Il en confie la construction à François Tygan, maître menuisier et architecte à Mons. Duval de Beaulieu acquiert l’hôtel lorsqu’il rachète l’ancien couvent des dominicains, lors de la vente du domaine comme bien national. Il fait alors des travaux pour aménager les jardins. L’empereur Napoléon lui confère le titre de comte. Il devient maire de Mons de 1800 à 1815. Sous le régime hollandais, il vend l’hôtel. Les Jésuites rachètent, en 1845, l’aile située à droite de l’hôtel. Après la fondation du collège Saint-Stanislas en 1851, ils acquièrent progressivement l’ensemble du domaine. L’hôtel sera finalement détruit en 1969-1970. Cet hôtel dominait le Parc planté d’arbres et la partie nord-est de la ville depuis le couvent des Visitandines, la tour Valenciennoise, l’église Sainte-Élisabeth, l’hôtel de ville, le beffroi jusqu’au château comtal et la tour César comme le montre la lithographie de Boëns et Burggraaff. Guillaume-Philidor Van den Burggraaff (1787-1856) est actif à Bruxelles vers 1820. Nommé lithographe de l’Académie de peinture de Bruxelles en 1822, il fait travailler, entre autres, les frères Alexandre et Léopold Boëns. En 1825, il devient éditeur et lithographe de l’Académie royale de Bruxelles Il est un des grands éditeurs de lithographies au début du 19e siècle. Il ne semble plus avoir publié de travaux importants après 1834. Alexandre Boëns (l793-1837) est peintre de paysage et de vues de villes. Il devient lithographe en 1820. (Christine Gobeaux)
Description physique de l'objet représenté: 1 lithographie (21,5 x 31 cm)
Mots-clés: Architecture -- Belgique -- Mons; Bâtiments -- Belgique -- Mons -- 19e siècle
Fait partie du: Oeuvre protégée
URI/URL: http://biblio.umons.ac.be/public/bv/?p=5506
Collection(s) :Université de Mons (UMONS)

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